Fitness : PROGRESSER SANS DÉPLACER: L’IMAGERIE COMME FORMATION MENTALE
Quand on parle d’imagerie, pour se lancer dans cet outil pour l’appliquer à nos routines d’entraînement à la maison, il faut garder à l’esprit que toutes les gens on a tendance à porter, ou on a utilisé, la imagerie de quelque ou autre manière: visualiser les situations futures, se souvenir des événements émotionnels du passé, représentant pensées en forme de images et même revivre les odeurs et les sensations (Imaginez un instant que vous prenez un citron et que vous le mordez férocement. Pensez-y quelques secondes… Vous remarquez le goût dans votre tête, non?).
Dans le sport, il est largement démontré que l’imagerie peut provoquer ongle activité corticale similaire à celle produite par la pratique de notre modalité spécifique, cela devient donc un outil de travail indispensable pour continuer à progresser lorsque le stimulus physique est faible ou inexistant, comme lorsque nous sommes blessés ou que nous n’avons pas eu le temps de nous entraîner (Palmi, 2001).
Pour des performances maximales, ce représentation mental de ongle action sans pas de mouvement physique doit être expérimenté à travers le plus de sens possible, non limité exclusivement à la vue (c’est pourquoi la meilleure façon d’appeler cette technique est l’imagerie, car elle ne se limite pas au sens de la vue, bien que cette technique soit mieux connue sous le nom de visualisation). Par conséquent, cette expérience a généré a partir de informations stockées dans la Mémoire, Quoi implique Caractéristiques quasi-sensoriel, quasi-perceptif et quasi-affectifs qui sont sous le contrôle de la personne, nous permettront imiter les conditions exactes de notre sport avec un niveau de détail impressionnant (Guillot et Collet, 2008).
Ensuite, je vous encourage à vous lancer dans l’imagerie sportive ou l’exercice de visualisation avec l’activité suivante. Cette stratégie est très utile, mais vous devez le pratiquer souvent pour bénéficier de ses bienfaits et corriger les différentes erreurs que vous ferez probablement au début. La chose habituelle, surtout lorsqu’il y a des compétitions, est d’être guidé par un psychologue du sport, qui vous aide dans le processus jusqu’à ce que vous soyez capable de le faire vous-même. (Weinberg et Gould, 2010). Cependant, pour commencer et pour pouvoir l’appliquer chez vous, suivez ces recommandations:
Relevez une situation de votre sport, un entraînement ou une routine spécifique que vous souhaitez reproduire etune attention particulière est portée aux composants suivants (Wakefield et Smith, 2012).
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Composants physique: sensations physiques causées par le mouvement et les éléments physiques qui composent votre sport, tels que Comment vêtements, chaussures ou accessoires (vous pouvez compléter les séances de visualisation en utilisant les vêtements d’entraînement pendant que vous imaginez).
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Composants environnementaux: imitez autant que possible l’endroit où se déroule votre activité sportive (l’idéal serait de visualiser où vous vous entraînez habituellement).
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Composant de tâche: Ce que vous visualisez doit être en adéquation avec le niveau de performance de votre activité sportive (peu importe combien vous vous visualisez soulever 250 kg dans un squat, si vous déplacez 100 kg, cela n’a aucun sens ou aura un effet).
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Horaire: Il est important d’effectuer la visualisation en temps réel, en respectant la durée réelle du mouvement, du geste ou de la situation à reproduire.
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Composantes émotionnelles: Il est très important de ressentir les émotions qui émergeraient lors de la réalisation des actions et des situations réelles (cela permettra une imagination plus réaliste).
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Perspective: vous pouvez vous visualiser d’un point de vue interne (de nos propres yeux) à un point de vue externe (comme si nous étions les spectateurs).
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Il conduite de cette technique est complexe Oui nous devons avoir assez expérience dans la activité qui nous voulons visualisez (si vous n’avez jamais fait d’entraînement de pull-up à la maison, cette technique ne vous servira à rien car votre cerveau ne pourra pas imaginer et reproduire la bonne technique). L’idéal est de toujours partir d’un état de relaxation et de proposer différentes progressions pour assimiler, avec soin, la quantité d’informations et de processus que nous allons répliquer dans notre esprit (Weinberg et Gould, 2010). De plus, l’imagerie doit toujours être positive, car, si nous nous visualisons en train d’échouer, de perdre ou de mal performer, il est probable que nous transférons ces sensations à un véritable entraînement, réduisant nos performances.
Essayez-le et voyez les résultats par vous-même!
- Caroline Wakefield & Dave Smith (2012): Perfectionner la pratique: appliquer le modèle PETTLEP d’imagerie motrice, Journal de psychologie du sport en action, 3: 1, 1-11.
- Lebon, F., Collet, C., et Guillot, A. (2010). Avantages de l’entraînement en imagerie motrice sur la force musculaire. The Journal of Strength & Conditioning Research, 24 (6), 1680-1687.
- Palmi, J. (2001). Vision psychosociale dans l’intervention des blessures sportives. Cahiers de psychologie du sport, 1 (1), 69-79.
- Weinberg, R., et Gould, D. (2010). Fondements de la psychologie du sport et de l’exercice physique. Madrid: Éditorial Médica Panamericana.
Auteur:
Samuel Diaz Delgado
Psychologue du sport et experte en développement personnel
www.samueldiazdelgado.com
Instagram / Facebook: @samueldiazdelg
Résumé
Nom d’article
PROGRESSER SANS DÉPLACER: L’IMAGERIE COMME FORMATION MENTALE
La description
Conseils de psychologie pour la formation à domicile
Auteur
Juan Manuel Toledo Dominguez