Olivier Delacroix et ses cheveux : l’origine des dreadlocks
Olivier Delacroix porte ses dreadlocks depuis de nombreuses années. Leur origine remonte à un séjour de deux mois et demi au Costa Rica, alors qu’il avait 22 ans. Là-bas, ses cheveux se sont naturellement emmêlés, formant ses célèbres dreadlocks.
Il explique que sa coiffure est le résultat de la nature de ses cheveux : “Mes cheveux poussent comme ça”, précise-t-il. Ceux qui le connaissent bien savent que cette coupe lui correspond totalement.
L’impact professionnel des dreadlocks sur sa carrière
Malgré l’originalité de sa coiffure, Olivier Delacroix affirme n’avoir jamais été contraint de changer de look pour sa carrière dans les médias. Interrogé, il souligne que personne ne lui a jamais demandé d’abandonner ses dreadlocks.
Il reconnaît toutefois que cette singularité a parfois posé question. Nathalie Darrigrand, ancienne patronne chez France Télévisions, a parié sur son image atypique en le faisant passer de France 4 à France 2. Un choix osé mais bénéfique.
Perceptions du milieu médiatique envers sa coiffure
Le milieu audiovisuel apparait souvent très strict et conventionnel. Olivier Delacroix avoue que certains dirigeants regardaient ses dreadlocks avec une certaine réserve, voire une forme de “terreur”. Cependant, il n’a jamais subi de discrimination directe.
Il se décrit comme un élément “hors norme” dans ce milieu souvent très lisse, où le style vestimentaire et l’apparence sont normés. Sa différence a peut-être facilité sa sélection pour certains projets.
Résumé des points clés
- Ses dreadlocks sont nées naturellement lors d’un séjour au Costa Rica à 22 ans.
- Il n’a jamais subi de pression pour changer de coupe dans sa carrière.
- Son style atypique a été un pari professionnel risqué mais payant.
- L’industrie audiovisuelle conserve une certaine réserve face à ce look distinctif.
Olivier Delacroix cheveux : Les dreadlocks qui racontent une histoire
Alors, pourquoi Olivier Delacroix porte-t-il ses célèbres dreadlocks ? La réponse est aussi naturelle que surprenante. Cet homme de télévision, connu pour son émission Dans les yeux d’Olivier, a partagé le secret derrière sa coiffure iconique. Ce n’est pas une simple mode, ni une coquetterie hollywoodienne. Ses dreadlocks sont la trace d’une aventure, d’une époque et d’un style de vie bien particulier.
Revenons-en aux faits. À l’âge de 22 ans, Olivier part surfer au Costa Rica pour deux mois et demi. Le soleil, l’eau salée, le vent et le temps font leur œuvre. Ses cheveux s’emmêlent naturellement, formant ces fameuses dreadlocks. Rien de planifié ici, juste une nature capillaire qui s’exprime librement. « Mes cheveux poussent comme ça », confie-t-il. Cette phrase simple résume tout : ses locked hair sont un prolongement de lui-même.
Une coiffure née de la nature et de la spontanéité
Imaginez la scène : un jeune homme au cœur d’une jungle mexicaine, surfant sur les vagues sans souci du coiffage ou des tendances. Au retour, il a les cheveux emmêlés d’une manière si singulière qu’ils deviennent sa signature. Ses proches, familiers de cet aspect naturel, ne s’attendent pas à le voir jouer avec ses mèches ou les dompter. Il affirme même que ses proches ne s’imaginent pas le voir tourner ses cheveux – ils connaissent son authenticité capillaire.
Cette histoire donne une leçon : parfois, nos choix de style ne sont pas un calcul, mais un reflet de moments vécus et d’aventures passées.
Les dreadlocks, un pari dans le monde médiatique
Porter des dreadlocks à la télévision française n’est pas banal. Pourtant, Olivier Delacroix n’a jamais été prié de retirer cette signature capillaire. Interrogé par Jordan de Luxe, il révèle que, depuis ses débuts dans les médias, personne ne lui a demandé de changer de coupe. Néanmoins, il reconnaît que ses dreadlocks ont parfois été une gêne.
Un exemple marquant : Nathalie Darrigrand, alors patronne des magazines à France Télévisions, l’a repéré sur France 4 pour l’emmener sur France 2. Accepter un journaliste avec des dreadlocks ? C’était un “sacré pari”, souligne-t-il. Cet obstacle illustre bien le poids des codes esthétiques dans les médias français.
Regard méfiant ou fascination hors normes ?
Dans le milieu lisse et codifié de la télévision, ses dreadlocks provoquaient plus de réactions qu’il ne laisse paraître. Aucun acte de discrimination, assure Olivier, mais des “patrons des programmes” le regardaient parfois avec « une certaine terreur dans les yeux ». Un regard impalpable mais palpable pour lui, marquant une forme de peur face à la différence.
Il précise que ce milieu exige d’être “bien habillé”, conforme aux normes classiques. Lui, décalé, hors mode consensuelle, porte ses cheveux tels quels. Cela a fait de lui une figure “hors norme”, ce qui l’a aidé à sortir du lot. Une forme d’authenticité qui finit par convaincre.
Pourquoi cette authenticité capillaire fait-elle du bien ?
Olivier Delacroix montre à quel point s’assumer dans son identité – jusque dans ses cheveux – peut ouvrir des portes. Sa coupe, loin d’être un simple ornement, raconte une histoire de voyage, de liberté et de refus des conventions. Pour les jeunes et moins jeunes, c’est un événement. Ce journaliste célèbre rappelle que le look, c’est aussi un langage. Souvent jugé superficiel, il peut se révéler être un vecteur d’originalité, de courage et même d’acceptation.
Aujourd’hui, ses dreadlocks ne sont plus seulement un héritage capillaire du Costa Rica, mais un symbole de son parcours. Une sorte de manifeste discret : « Je suis différent, et ça me va. »
Leçon à retenir pour ceux qui hésitent à oser leur style
- La spontanéité peut devenir un atout : Les dreadlocks d’Olivier ne sont pas un choix marketing, mais une réalité vécue.
- La confiance en soi est primordiale : Malgré les regards déconcertés, il a gardé sa coiffure intacte.
- Être hors norme peut pousser vers le succès : Nathalie Darrigrand l’a choisi car il était différent.
- Les normes ne doivent pas brider la créativité personnelle, surtout dans les métiers visibles.
Alors la prochaine fois que vous regardez Olivier Delacroix à la télé, pensez à cette histoire. Ses dreadlocks ne sont pas juste un style. C’est un morceau de vie, une aventure surfée au Costa Rica, un signe de résilience. Parfois, l’apparence raconte plus qu’on ne croit. Et si vos cheveux pouvaient eux aussi raconter votre histoire ?
Pourquoi Olivier Delacroix a-t-il des dreadlocks ?
Il a formé ses dreadlocks naturellement après un séjour de deux mois au Costa Rica quand il avait 22 ans. Ses cheveux se sont emmêlés sans qu’il ne les touche.
Les dreadlocks ont-elles posé problème dans sa carrière ?
Personne ne lui a demandé de changer de coiffure, même si certains patrons étaient surpris. Sa directrice l’a repéré et soutenu malgré ses dreadlocks.
Comment le milieu médiatique perçoit-il ses dreadlocks ?
Certains responsables le regardaient avec une forme de peur. Le monde de la télévision est très normé, mais ses dreadlocks l’ont aidé à se démarquer.
Olivier Delacroix a-t-il souffert de discrimination à cause de ses cheveux ?
Non, il n’a jamais été victime de discrimination. Son style a plutôt été un pari et parfois un obstacle, mais cela ne l’a pas empêché de réussir.
Quelle phrase résume son rapport à ses cheveux ?
Il dit simplement : “Mes cheveux poussent comme ça”, montrant qu’il accepte et assume pleinement sa coiffure unique.
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